21 décembre 2006
Marcel Khalifé en concert avec Gradus Ad Musicam
ARABESQUES, LES SORTILEGES DE LA MUSIQUE ORIENTALE - Le 'oud, le luth oriental, l’instrument-roi de la musique arabe, sera la vedette de ce concert tout imprégné des capiteux effluves des senteurs orientales. L’Orchestre Symphonique GRADUS AD MUSICAM s’associera à Marcel Khalifé, star planétaire et grand maître du 'oud, pour conjurer les sortilèges des nuits orientales. Un événement de portée internationale ! Le programme comprendra la Suite Andalouse de Marcel Khalifé et le Concerto pour piano d'Abdallah Al-Masri. Les solistes seront Marcel Khalifé, 'oud, et son fils Rami Khalifé, piano.
Vendredi 19 janvier à 20h30, salle Poirel Nancy
Réservations :
• Salle Poirel 03.83.32.31.25
• Magasins Fnac 0 892 68 36 22 (0,34€/min) - www.fnac.com - Carrefour - Géant
Marcel Khalifé sera l'invité du Forum des rencontres de la FNAC de Nancy le jeudi 18 janvier 2007 à 17h00.
Pour en savoir plus, veuillez cliquer ici
MARCEL KHALIFÉ, UN SEIGNEUR DE LA MUSIQUE ARABE - Marcel Khalifé est un compositeur libanais, chanteur et oudiste. Il est né en 1950 à Amchit, au Mont-Liban. De 1970 à 1975, il étudie puis enseigne le 'oud au conservatoire de Beirouth. En 1976, il crée l'ensemble Al Mayadeen et devient internationalement célèbre, notamment pour ses chansons Umi (Ma mère), Rita w'al-Bundaqiya (Rita et le pistolet) et Jawaz al-Safr (Passeport), inspirés de poèmes du grand poète palestinien Mahmoud Darwich. Il est aussi renommé pour avoir rendu ses lettres de noblesse au 'oud, l'instrument traditionnel de la musique arabo-andalouse.
En 2005, il est nommé artiste de l’UNESCO pour la paix par le directeur général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura, en « reconnaissance de son engagement fervent et généreux en faveur du patrimoine musical ».
Ses deux fils, Rami et Bachar sont aussi des musiciens. Le premier est pianiste, le second percussioniste.
15 décembre 2006
La splendeur de Noël dans l'éclat du baroque
L'Oratorio de Noël de Johann Sebastian Bach
Exubérance des timbres, foisonnement des mélodies, profusion des sentiments. Un hommage festif à la splendeur de Noël et la grandeur de Bach. Solistes, chœur & orchestre, la musique baroque dans tout son éclat. Le GAM donnera cette année les cantates 1,2,3 de l'Oratorio de Noël après les cantates 4,5,6 présentées
en 2004.
Ian HONEYMAN, ténor, l'évangéliste
Célia PIERRE, soprano
Michel MARQUEZ, contre-ténor
Jean-Louis GEORGEL, basse
Ensemble Vocal & Orchestre de Chambre GRADUS AD MUSICAM
Direction : François LEGÉE
Lundi 18 décembre 2006 à 20h30 - Eglise Saint-Léon, Nancy
21 octobre 2006
FOISON D'AMOUR : Le GAM prend l'année Mozart par les sentiments !
Un florilège d'airs d'opéra où deux jeunes étoiles montantes du chant lyrique, Célia Pierre & Christophe Gay, appuyés par l’orchestre et le chœur, déploient la gamme des sentiments amoureux. Un ardent foisonnement de chants d’amour & de désamour en solo, duo, chorisssimo où Mozart côtoie Lully, Haydn, Offenbach, Bellini, Gershwin, etc.
Pour connaître le programme complet du concert " Foison d'amour ", veuillez cliquer ici.
Jeudi 30 novembre, salle Montrichard Pont-à-Mousson
Prix des places :
Adultes : 20€
Jeunes et étudiants : 10€
Famille (1 à 3 enfants de moins de 16 ans) : 40€
Renseignements & réservations : office du tourisme de PAM, Place Duroc, 03 83 81 06 90
Tarif réduit pour les chômeurs, RMIstes et groupes d'au moins 10 personnes en téléphonant au 03 83 81 12 10
CÉLIA PIERRE, UN NUAGE DE TENDRESSE - Les rendez-vous du GAM avec Célia Pierre vont s'accumuler dans les prochains mois. Elle a chanté le " Pie Jesu " dans le Requiem de Fauré, elle chantera dans la Grande Messe en ut de Mozart et dans l'Oratorio de Noël de Bach et une nouvelle fois - mais on ne s'en lasse pas - " Foison d'amour " à Pont-à-Mousson avec Christophe Gay. En mars 2007, elle chantera la partie de soprano dans les CARMINA BURANA. Le GAM aime Célia pour sa voix tendre et pulpeuse, son timbre suave et velouté, ses beaux yeux bleus et son impeccable technique vocale mise au service de l'émotion. Elle possède une double formation d'orthophoniste et de musicienne et est chargée d'enseignement au département de musicologie à l'Université Nancy2. Férue de la grande peinture italienne de la Renaissance, elle aime également le cinéma d'auteur; elle a par exemple beaucoup apprécié le film de Michel Gondry " La Science des rêves ". Gastronome, elle adore déguster des fruits de mer ou du poisson. Une jeune femme décidément pleine de charme et de goût ! Et une chanteuse pleine d'avenir.
Pour connaître le programme complet du concert " Foison d'amour ", veuillez cliquer ici.
Jeudi 30 novembre, salle Montrichard Pont-à-Mousson
Prix des places :
Adultes : 20€
Jeunes et étudiants : 10€
Famille (1 à 3 enfants de moins de 16 ans) : 40€
Renseignements & réservations : office du tourisme de PAM, Place Duroc, 03 83 81 06 90
Tarif réduit pour les chômeurs, RMIstes et groupes d'au moins 10 personnes en téléphonant au 03 83 81 12 10
CÉLIA PIERRE, UN NUAGE DE TENDRESSE - Les rendez-vous du GAM avec Célia Pierre vont s'accumuler dans les prochains mois. Elle a chanté le " Pie Jesu " dans le Requiem de Fauré, elle chantera dans la Grande Messe en ut de Mozart et dans l'Oratorio de Noël de Bach et une nouvelle fois - mais on ne s'en lasse pas - " Foison d'amour " à Pont-à-Mousson avec Christophe Gay. En mars 2007, elle chantera la partie de soprano dans les CARMINA BURANA. Le GAM aime Célia pour sa voix tendre et pulpeuse, son timbre suave et velouté, ses beaux yeux bleus et son impeccable technique vocale mise au service de l'émotion. Elle possède une double formation d'orthophoniste et de musicienne et est chargée d'enseignement au département de musicologie à l'Université Nancy2. Férue de la grande peinture italienne de la Renaissance, elle aime également le cinéma d'auteur; elle a par exemple beaucoup apprécié le film de Michel Gondry " La Science des rêves ". Gastronome, elle adore déguster des fruits de mer ou du poisson. Une jeune femme décidément pleine de charme et de goût ! Et une chanteuse pleine d'avenir.
01 octobre 2006
Un amour de requiem !
UNE BERCEUSE DE LA MORT
« Mon Requiem ... on a dit qu’il n’exprimait pas l’effroi de la mort, quelqu’un l’a appelé une berceuse de la mort. Mais c’est ainsi que je sens la mort : comme une délivrance heureuse, une aspiration au bonheur d’au-delà, plutôt que comme un passage douloureux... Peut-être ai-je aussi, d’instinct, cherché à sortir du convenu, voilà si longtemps que j’accompagne à l’orgue des services d’enterrement! J’en ai par-dessus la tête, j’ai voulu faire autre chose. » Gabriel Fauré
Gradus Ad Musicam interprètera le Requiem de Fauré le samedi 14 octobre à 20h30 à l’église Saint-Pierre de Gerbéviller.
1° partie : Concerto en ré mineur pour orgue et orchestre à cordes de J.S. Bach BWV 1052. Michaël Parisot, orgue.
Entrée : 12 € (gratuit - 14 ans)
Les billets sont en vente à la FNAC et sur le réseau Ticketnet :
Magasins Fnac : 0 892 68 36 22 (0,34€/min) - www.fnac.com - Carrefour - Géant
Réseau TicketNet : 0 892 390 100 (0,34€/min) - www.ticketnet.fr - Virgin / Auchan / Leclerc / Cora / Cultura
UN SOMMET DE LA MUSIQUE VOCALE
Dans le Requiem de Fauré, l’écriture vocale des chœurs est à son apogée: le mystérieux canon de l’Offertoire, le sublime Amen qui vient clore l’Agnus Dei, la rentrée des voix d’hommes el des alti dans l’ln Paradisum comptent parmi les plus belles pages de la musique chorale. Et bien sûr le merveilleux Pie Jesupour soprano, accompagné par deux flûtes et deux clarinettes, qui dégage une émotion que seule la musique peut susciter. Oui, le Requiem de Fauré, une Messe des morts finalement pleine de vie et de lumière, est de ces musiques qui atteignent simplement les régions de l’indicible. C’est pourquoi ce chef-d’œuvre connaît une diffusion à peu près universelle.
Source : Jean-Michel Nectoux, FAURÉ, éditions du Seuil, 1995
LES AMIS DE L’ORGUE DE GERBÉVILLER
L’association "Les amis de l’orgue de Gerbéviller" fut créée en 1992, se fixant pour mission de restaurer l’orgue construit en 1865 par Aristide Cavaillé-Coll, fortement endommagé pendant la guerre de 1914-1918, et devenu muet depuis 1988 par manque d’entretien.
Restauré par Nicolas Toussaint en 1993-94, l’orgue fut inauguré par Michel Chapuis le 5 juin 1994.
L’association souhaite maintenant permettre le développement d’une culture musicale de qualité en milieu rural.
C’est dans cette perspective qu’elle propose chaque année une programmation variée, en invitant des artistes de renom, ou des jeunes musiciens encore peu connus.
Pour en savoir plus sur Les amis de l’orgue de Gerbéviller, cliquez ici.
30 août 2006
Allegro appassionato à Barcelo
Voilà, c’est fait, les montagnards lorrains sont rentrés chez eux ! La Biennale 2006 à Barcelonnette restera un grand souvenir, avec un accueil chaleureux, un public enthousiaste et un soleil globalement très généreux.
Il y eut d’abord le concert « Foison d’amour » au théâtre El Zocalo, avec Célia & Christophe, beaux à voir et magnifiques à entendre comme à l’accoutumée, et qui auraient mérité une salle pleine comme à Nancy. Il y eut ensuite le concert de musique baroque pour chœur & orchestre, avec notamment la suite n°2 BWV1067 de Bach où notre flûtiste Renaldo Greco a émerveillé l’auditoire par son ébouriffante virtuosité, et une cantate de Buxtehude à fondre de bonheur.
Puis nous avons eu droit au concert de musiques de films pour orchestre de cuivres dirigé par François Fossano, qui a crevé l’écran avec sa bonhomie pince-sans-rire. On pourrait faire défiler cet orchestre en uniforme, et là on l’appellerait la fanfare du GAM. On pourrait même ajouter des majorettes.
Et enfin il y eut en point d’orgue DOGORA. Deux concerts du feu de Dieu à l’église St-Pierre, avec un chœur d’enfants divinement émouvant avec ses voix d’anges, des roulements de tambours et des jaillissements de trompettes et de trombone à ranimer les trépassés, mais aussi des cantilènes à donner la chair de poule, un chœur en extase et un public en délire d’avoir ressenti des frissons tout partout. D’aucuns croiront que j’exagère, mais ceux qui étaient là savent que c’était bien comme ça !
En dehors de la musique, la vallée de l’Ubaye – le torrent qui arrose Barcelonnette - respire la quiétude et la douceur. La montagne est décidément belle quand elle est peuplée de gens sensibles et passionnés de musique et de chant.
Nous avons même côtoyé des choristes de 70 ans qui arpentent et dévalent la montagne en courant gaiement comme des bouquetins, alors que le commun de nous autres ahane, s’essouffle et s’épuise à la poursuite du sommet.
Cerise sur le gâteau, François Legée a été fait citoyen d’honneur de la ville de Barcelonnette sans avoir rien demandé. Il pourra donc arborer cette distinction avec la conscience d’avoir œuvré pour le bien commun et par passion pour la musique. Comme dit Montaigne, « la vertu est chose bien vaine et frivole, si elle tire sa recommandation de la gloire : pour néant entreprendrions-nous de luy faire tenir son rang à part, et la desjoindrions de la fortune ; car qu’est-il plus fortuit que la réputation ? » (Essais, Livre II, chapitre 16)
A méditer profondément.
Autant dire que le GAM a fort mouillé sa chemise à Barcelonnette. Heureusement qu’on est mordus, car sinon c’est du délire. Merci par exemple au tubiste qui est venu tout exprès de Reims à Barcelo. Pourquoi faire ? Ben, pour jouer du tuba dans « Dogora ». C’est tout ? Oui, c’est tout, mais vous ne pouvez pas savoir comme ça fait du bien ! Le GAM, c’est fort comme ça.
Heureusement, dans deux ans, on y retourne, peut-être avec les Carmina Burana …
En attendant, au boulot !
Il y eut d’abord le concert « Foison d’amour » au théâtre El Zocalo, avec Célia & Christophe, beaux à voir et magnifiques à entendre comme à l’accoutumée, et qui auraient mérité une salle pleine comme à Nancy. Il y eut ensuite le concert de musique baroque pour chœur & orchestre, avec notamment la suite n°2 BWV1067 de Bach où notre flûtiste Renaldo Greco a émerveillé l’auditoire par son ébouriffante virtuosité, et une cantate de Buxtehude à fondre de bonheur.
Puis nous avons eu droit au concert de musiques de films pour orchestre de cuivres dirigé par François Fossano, qui a crevé l’écran avec sa bonhomie pince-sans-rire. On pourrait faire défiler cet orchestre en uniforme, et là on l’appellerait la fanfare du GAM. On pourrait même ajouter des majorettes.
Et enfin il y eut en point d’orgue DOGORA. Deux concerts du feu de Dieu à l’église St-Pierre, avec un chœur d’enfants divinement émouvant avec ses voix d’anges, des roulements de tambours et des jaillissements de trompettes et de trombone à ranimer les trépassés, mais aussi des cantilènes à donner la chair de poule, un chœur en extase et un public en délire d’avoir ressenti des frissons tout partout. D’aucuns croiront que j’exagère, mais ceux qui étaient là savent que c’était bien comme ça !
En dehors de la musique, la vallée de l’Ubaye – le torrent qui arrose Barcelonnette - respire la quiétude et la douceur. La montagne est décidément belle quand elle est peuplée de gens sensibles et passionnés de musique et de chant.
Nous avons même côtoyé des choristes de 70 ans qui arpentent et dévalent la montagne en courant gaiement comme des bouquetins, alors que le commun de nous autres ahane, s’essouffle et s’épuise à la poursuite du sommet.
Cerise sur le gâteau, François Legée a été fait citoyen d’honneur de la ville de Barcelonnette sans avoir rien demandé. Il pourra donc arborer cette distinction avec la conscience d’avoir œuvré pour le bien commun et par passion pour la musique. Comme dit Montaigne, « la vertu est chose bien vaine et frivole, si elle tire sa recommandation de la gloire : pour néant entreprendrions-nous de luy faire tenir son rang à part, et la desjoindrions de la fortune ; car qu’est-il plus fortuit que la réputation ? » (Essais, Livre II, chapitre 16)
A méditer profondément.
Autant dire que le GAM a fort mouillé sa chemise à Barcelonnette. Heureusement qu’on est mordus, car sinon c’est du délire. Merci par exemple au tubiste qui est venu tout exprès de Reims à Barcelo. Pourquoi faire ? Ben, pour jouer du tuba dans « Dogora ». C’est tout ? Oui, c’est tout, mais vous ne pouvez pas savoir comme ça fait du bien ! Le GAM, c’est fort comme ça.
Heureusement, dans deux ans, on y retourne, peut-être avec les Carmina Burana …
En attendant, au boulot !
05 août 2006
Félicitations !
Bonjour,
J’ai pris un abonnement pour la première fois à vos concerts lors de la saison 2004/2005, même si j’avais par ailleurs déjà assisté à certains d’entre eux.
Je voudrais vous dire que j’ai été très impressionnée par la création mondiale que vous avez donnée courant mai de « Dogora ouvrons les yeux » avec l’ensemble habituel, les chœurs d’enfant, la vidéo, les comédiens et les danseurs.
Comme beaucoup je pense, je ne connaissais pas la musique composée par Etienne Perruchon, devenue musique du film de Patrice Leconte que je n’ai pas vu, musique d’une grande qualité et qualifiée à juste titre d’envoûtante. Comme le couple d’amis avec lequel j’étais et comme je crois tous les spectateurs de ce spectacle, j’ai trouvé cette création magnifique et je tiens à vous le dire. Je regrette cependant que la presse locale ne lui ait pas donné l’écho qu’elle méritait. Félicitations au compositeur bien sûr, à l’orchestre et à son chef, aux chœurs adultes et d’enfants, aux chanteurs solistes d’une grande qualité, au réalisateur de la vidéo, aux comédiens et aux danseurs. Enchantée, je suis retournée –exceptionnellement- assister au concert que vous donniez début juin à Essey afin de revivre un peu de cette magie qui m’avait transportée le temps d’une soirée. Bien sûr, le cadre et l’acoustique n’étaient pas d’une aussi bonne qualité, il manquait la vidéo, les comédiens, les danseurs, et l’ensemble des participants étaient quelque peu pressés de quitter la salle exigüe, mais la qualité de la musique était bien présente, comme celle des chanteurs et des choeurs. Alors, bravo à tous.
Je vous fais ce témoignage afin que vous connaissiez les sentiments des personnes qui viennent à vos concerts et pour que vous renouveliez ce genre d’initiatives. Si un jour, vous rejouez Dogora, n’hésitez pas à nous en faire part. Je le reverrais avec plaisir.
Félicitations également pour les représentations d’extraits d’opérettes et le concert de Brahms. Par contre, j’avoue que je suis quelque peu réticente aux concerts dans les églises, dont le répertoire religieux est solennel et pour lesquels le confort est vraiment très limité (tenir 1h30 en moyenne devient une épreuve)…
N’hésitez pas à me faire parvenir votre programme pour la saison prochaine et dans cette attente, je vous souhaite à tous de bonnes vacances.
Marie-Laure
J’ai pris un abonnement pour la première fois à vos concerts lors de la saison 2004/2005, même si j’avais par ailleurs déjà assisté à certains d’entre eux.
Je voudrais vous dire que j’ai été très impressionnée par la création mondiale que vous avez donnée courant mai de « Dogora ouvrons les yeux » avec l’ensemble habituel, les chœurs d’enfant, la vidéo, les comédiens et les danseurs.
Comme beaucoup je pense, je ne connaissais pas la musique composée par Etienne Perruchon, devenue musique du film de Patrice Leconte que je n’ai pas vu, musique d’une grande qualité et qualifiée à juste titre d’envoûtante. Comme le couple d’amis avec lequel j’étais et comme je crois tous les spectateurs de ce spectacle, j’ai trouvé cette création magnifique et je tiens à vous le dire. Je regrette cependant que la presse locale ne lui ait pas donné l’écho qu’elle méritait. Félicitations au compositeur bien sûr, à l’orchestre et à son chef, aux chœurs adultes et d’enfants, aux chanteurs solistes d’une grande qualité, au réalisateur de la vidéo, aux comédiens et aux danseurs. Enchantée, je suis retournée –exceptionnellement- assister au concert que vous donniez début juin à Essey afin de revivre un peu de cette magie qui m’avait transportée le temps d’une soirée. Bien sûr, le cadre et l’acoustique n’étaient pas d’une aussi bonne qualité, il manquait la vidéo, les comédiens, les danseurs, et l’ensemble des participants étaient quelque peu pressés de quitter la salle exigüe, mais la qualité de la musique était bien présente, comme celle des chanteurs et des choeurs. Alors, bravo à tous.
Je vous fais ce témoignage afin que vous connaissiez les sentiments des personnes qui viennent à vos concerts et pour que vous renouveliez ce genre d’initiatives. Si un jour, vous rejouez Dogora, n’hésitez pas à nous en faire part. Je le reverrais avec plaisir.
Félicitations également pour les représentations d’extraits d’opérettes et le concert de Brahms. Par contre, j’avoue que je suis quelque peu réticente aux concerts dans les églises, dont le répertoire religieux est solennel et pour lesquels le confort est vraiment très limité (tenir 1h30 en moyenne devient une épreuve)…
N’hésitez pas à me faire parvenir votre programme pour la saison prochaine et dans cette attente, je vous souhaite à tous de bonnes vacances.
Marie-Laure
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